Le Centre international de plongée des Glénan (CIP) a demandé au tribunal administratif de Rennes d'annuler la décision du préfet car les manquements relevés étaient, selon lui, purement administratifs.
Dans son ordonnance rendue le 1er juillet 2020, le juge administratif a confirmé la décision du préfet, considérant notamment que les manquements administratifs ne permettent pas de s’assurer que toutes les conditions de sécurité étaient réunies pour la pratique de la plongée subaquatique, et que rien ne démontre que l’entretien des bouteilles de plongée répondait aux règles de sécurité en vigueur.